Le Roman de Renart
Anonyme
XII° - XIII° siècle
Anonyme
XII° - XIII° siècle
Challenge ABC : 25/26
Quatrième de couverture
Renart, rusé, habile, et surtout beau parleur, a plus d'un tour dans son sac lorsqu'il s'amuse à piéger Ysengrin, le loup sot et glouton, Tiécelin le corbeau, Chantecler le coq, Dame Pinte la poule... Mais, las d'être dupés par ce goupil malicieux, les animaux lui complotent à leur façon un drôle de surprise. Rira bien qui rira le dernier !
Avis
Quand j'ai eu fini de le lire, j'avais l'impression que ce serait un cercle vicieux, une histoire sans fin qui recommencerait inlassablement et se terminerait toujours de la même façon. Les personnages ne tirent aucune morale du comportement de Renart et c'est bien dommage. De plus, les chapitres sont hyper répétitifs, et il y a quelques détails dont on se passerait bien (pourtant j'ai lu une version abrégée, c'est pour dire...).
D'un point de vue un peu plus objectif, ce livre est un des premiers romans, dans le sens littéral du terme, c'est à dire écrit en langue romane et non latine. Cette histoire s'est d'abord transmise oralement par les troubadours et tout. Elle est constituée de plusieurs "branches" qui ont été regroupées pour donner une certaine unité. Dans un des chapitres, j'ai cru avoir sous les yeux une fable de la Fontaine : le Corbeau et le Renard, mais apparemment cette fable était très répandue et on la retrouve chez de nombreux auteurs. Et pour la petite histoire, le nom de "Renart" le goupil a dérivé en "renard" dans notre vocabulaire courant.
Avis
Quand j'ai eu fini de le lire, j'avais l'impression que ce serait un cercle vicieux, une histoire sans fin qui recommencerait inlassablement et se terminerait toujours de la même façon. Les personnages ne tirent aucune morale du comportement de Renart et c'est bien dommage. De plus, les chapitres sont hyper répétitifs, et il y a quelques détails dont on se passerait bien (pourtant j'ai lu une version abrégée, c'est pour dire...).
D'un point de vue un peu plus objectif, ce livre est un des premiers romans, dans le sens littéral du terme, c'est à dire écrit en langue romane et non latine. Cette histoire s'est d'abord transmise oralement par les troubadours et tout. Elle est constituée de plusieurs "branches" qui ont été regroupées pour donner une certaine unité. Dans un des chapitres, j'ai cru avoir sous les yeux une fable de la Fontaine : le Corbeau et le Renard, mais apparemment cette fable était très répandue et on la retrouve chez de nombreux auteurs. Et pour la petite histoire, le nom de "Renart" le goupil a dérivé en "renard" dans notre vocabulaire courant.
En résumé : Un ennui profond.
Extraits
* "Tel se plaint qui n'a pas le moindre mal."
* "Qui tout désire tout perd."